Dans une lettre ouverte publiée sur les réseaux sociaux, 14 joueuses françaises ont pris la parole pour dénoncer les violences sexistes et sexuelles dans leur discipline. La fédération française des échecs a encouragé cette libération de la parole.
« J’ai vu un grand maître mettre la main aux fesses de manière non consentie à une jeune joueuse, j’ai eu une remise de prix d’un tournoi que j’avais gagné, l’adjoint au maire de la ville de Nice qui remettait le prix, lors de la photo officielle m’a mis la main aux fesses comme si mon corps lui appartenait ». Yosha Iglesias, joueuse d’échecs professionnelle
Source : Franceinfo